jeudi 1 juin 2017

La fin des haricots (rouges)

Ces deux derniers jours tokyoïtes marquent la triste fin des aventures nipponnes de Maurice Dupuis, de Paris. Ils ont toutefois été riches en expériences (richesse inversement proportionnelle au compte en banque de MD, dP, au vu des dépenses occasionnées par ce dernier passage en la capitale).

Adonc, hier fut consacré, hormis à un peu de shopping sur lequel on ne s'étendra pudiquement pas, à deux activités sympathiques.
D'une part, une visite au Square Enix Café. On se souvient du passage au café Artnia en début de séjour, mais il s'agit ici du vrai beau café officiel, avec des reservations et tout et tout.
Plutôt agréable, ambiance bone enfant, boutique correctement fournie, carte un peu light pour les desserts (mais le Titan Burger avait l'air formidable).

"Fraisier" chapeau de Mage Rouge
Quatre Quart du Moogle

Ensuite, direction Ikebukuro pour un spectacle qui s'annonçait impressionnant, Shingeki no Kyojin in the Dome. Il s'agit d'une production conjointe entre la société qui exploite le manga / anime Shingeki no Kyojin, et le planétarium Konica Minolta. On a donc un spectacle projeté sur un écran en dome à 360 degrés. Au final, si les effets sont impressionnants, le contenu est quand meme bien maigre, et au bout d'une petite vingtaine de minutes, on en ressort quand meme un peu déçu. (desu desu desu)

Ikefukuro, la mascotte de la gare d'Ikebukuro

Le lendemain devait commencer par une tournée des magasins de guitare, et s'est changé en tournée des centres hospitaliers d'Ochanomizu. A défaut d'avoir trouvé l'instrument de ses rêves, Maurice Dupuis, de Paris, a perfectionné ses connaissances du vocabulaire médical.

Un petit crochet culturel par le centre des arts traditionnels japonais, et c'est le retour à la sous culture nipponne qui clôturera le séjour.
A commencer par une singulière expérience, le Mimi-kaki, i.e. le nettoyage d'oreilles traditionnel. Nous tairons pudiquement les détails (parce que faut bien teaser pour le retour de congés), mais c'était plutôt pas mal !
Enfin, Akihabara ne serait pas Akihabara sans ses cafés plus ou moins spécialisés, et c'est donc par une doublette Maid Cafe (@Home) et Ninja Cafe (Shinobazu) que les aventures de Maurice Dupuis, de Paris, se terminent.

Nin Nin !