jeudi 18 mai 2017

Aizu, c'est finu

Ayant écumé le centre bruissant d’animation d’Aizu hier, Maurice Dupuis a étendu aujourd’hui sa sphère d’influence aux recoins les plus éloignés de la préfecture, en se rendant tout d’abord à Ouchijiku.

Point de passage entre Aizu et Nikko à l’époque Edo, ce petit village a été restauré en l’état qui était le sien à ce moment. On peut donc aujourd’hui parcourir sa grande (et unique) rue, bordée de nombreuses chaumières (au sens propre du terme, ces maisons de style ancien étant bel et bien coiffées de toits de paille fort épais, aptes à résister aux chutes de neige les plus virulentes).

La gare

La grand rue


Le trajet en lui-même est également agréable, puisque le petit train qui mène en ces lieux a tout du tortillard de montagne, et offre du coup des paysages fort sympathiques. A cette occasion, Maurice Dupuis, de Paris, a d’ailleurs une fois de plus exercé son charme légendaire sur les dames d’un certain age, et s’est trouvé embarqué dans une forte animée conversation avec deux retraitées japonaises en plein voyage organisé.

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Pour rester dans l’époque médiévale japonaise, la visite de l’après midi était consacrée à l’Aizu Bukeyashiki, un (très) vaste manoir de nobles de la région. Dans cette très grande propriété, on peut voir, au moyen de mannequins habilement disposés, comment vivaient les gens de l’époque, qu’il s’agisse des maîtres de maison, de leurs visiteurs de marque, ou des simples domestiques.








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